Vainqueur
« Pour l’instant, le néomillionnaire souhaite avant tout aider les autres. « Voir les gens heureux autour de moi, c’est la plus belle des récompenses. Quand l’argent tombe du ciel, il faut en faire quelque chose et aider ceux qui n’ont pas autant de chance. Sinon, ça n’a pas de sens », a-t-il affirmé lors de la remise de son chèque. »
« Ce montant correspond également à 11 Bugatti, 166 tonnes de caviar ou encore à l’indemnité de transfert payée par le Paris Saint-Germain pour faire signer Kylian Mbappé. »
Mon questionnement
Je me suis posé en septembre la question de savoir ce que je pourrais faire avec une super cagnotte de 157 millions, j’ai écrit un ouvrage à ce sujet qui est en cours de correction et qui j’espère paraitra en janvier.
Ce que je retiens et qui me touche est que ce gagnant, est une personne simple, qu’il souhaite aider les autres, dont les hôpitaux au travers d’une fondation. Les personnes qui corrigent mon livre, retrouve la même idée et concept de solidarité dans mon ouvrage.
J’étais en avance sur mon temps de quelques mois et j’encourage tous les gagnants à faire de même. Car n’oublions pas que la loterie est une tontine et que l’ensemble forme une cagnotte de 17 millions d’euros mis en jeu chaque semaine en première ligne.
Il est dommage que les gagnants des lignes suivantes ne perçoivent que des clopinettes, au profit de la première ligne.
Les impôts
Dans les faits, le premier gagnant est l’état français qui ponctionne des sommes importantes sur une tontine moderne et les cotisations versées par les joueurs.
« En 2019, l’État a collecté 3,5 milliards d’euros auprès de la Française des jeux (FDJ). C’est bien plus que l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) et ses 2,1 milliards d’euros. »
Philanthropie
Je vais être honnête et tout comme lui, je joue pour financer des projets associatifs et solidaires, car je sais ce que vaut l’argent, je connais les difficultés des gens et je sais que l’argent n’achète pas le bonheur.
“Il jouait dans le but de donner la grande majorité de son gain à des causes qui lui tiennent à cœur, et c’est ce qu’il va faire”, a expliqué à TF1 Isabelle Cesari, responsable du service relations gagnants de la Française des Jeux.
il souhaite créer sa propre fondation afin d’aider le milieu hospitalier à bout de souffle. “Si j’arrive à faire vivre et grandir ma fondation, là j’aurai tout gagné”, avait-il lancé en fin de semaine dernière, lors de la remise de son gain historique. L’attention est belle, mais elle est loin d’être isolée selon Isabelle Cesari, qui affirme qu’il arrive “fréquemment” que des gagnants s’illustrent par leur générosité.
Un gagnant paie la restauration de 223 écoliers chaque année à la commune de Saint-Michel, soulageant les familles.
D’autres aident des associations, les communes pour des projets sociaux culturelles ou des aides financières.
« En 2013, un gagnant de l’Euromillions décide de frapper fort en se lestant des trois quarts de son gain. Cet habitant de Haute-Garonne remporte 72 millions d’euros et choisit d’en reverser 50 à une dizaine d’associations d’ampleur nationale. À l’époque, il s’agit d’un geste inédit de par son ampleur. La Française des Jeux avait déclaré qu’il s’agissait d’un gagnant ayant “une fibre solidaire”. À noter que le millionnaire avait demandé le suivi de l’utilisation faite de ses deniers. »
Ceux qui ont connu la précarité et la difficulté aident les autres et les associations qui les soutiennent au quotidien.
Ce gagnant ne suivra pas l’exemple de ceux qui n’ont rien compris, se sont pris pour des riches et ont tous perdus en quelques mois.
Sources :
Mise en ligne le 23 décembre 2020- dernière modification 26 décembre 2020
crédit photo le parisien et evanto.com
